5 octobre 2009
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Le vol des cigognes, de Jean-Christophe Grangé
Le livre de poche, janvier 1999, 378 pages, ISBN 978-2-253-17057-0
4e de couverture
Un ornithologue suisse est trouvé mort d'une crise cardiaque... dans un nid de cigognes. Malgré cette disparition, Louis, l'étudiant qu'il avait engagé, décide d'assumer seul la mission prévue : suivre la migration des cigognes jusqu'en Afrique, afin de découvrir pourquoi nombre d'entre elles ont disparu durant la saison précédente...
Parmi les Tsiganes de Bulgarie, dans les territoires occupés par Israël, puis en Afrique, Louis court d'énigme en énigme et d'horreur en horreur : observateurs d'oiseaux massacrés, cadavres d'enfants mutilés dans un laboratoire... Les souvenirs confus de son propre passé - ses mains portent des cicatrices de brûlures depuis un mystérieux accident - se mêlent bientôt à l'enquête. Et c'est au cœur de l'Inde, à Calcutta, que surgira l'effroyable vérité...
Le premier roman de Grangé que j'ai découvert avec l'excellent Les rivières pourpres.
À nouveau, une bonne intrigue, une fin surprenante, avec quelques détails plus « macabres » comme je les aime ;-)
Le jeune héros est par contre peu attachant, il se cherche, comme d'autres personnages du roman. Tout au long du roman, on voyage à travers l'Europe et l'Afrique, en suivant la migration des cigognes. Thriller original justement de par l'implication de ces oiseaux dans l'intrigue.
Cette chronique de lecture est originellement parue le 1er octobre sur Bookophiles (lien modifié suite à un changement de plateforme), blog sur lequel vous pouvez lire d'autres articles de DeL.
Le livre de poche, janvier 1999, 378 pages, ISBN 978-2-253-17057-0
4e de couverture
Un ornithologue suisse est trouvé mort d'une crise cardiaque... dans un nid de cigognes. Malgré cette disparition, Louis, l'étudiant qu'il avait engagé, décide d'assumer seul la mission prévue : suivre la migration des cigognes jusqu'en Afrique, afin de découvrir pourquoi nombre d'entre elles ont disparu durant la saison précédente...
Parmi les Tsiganes de Bulgarie, dans les territoires occupés par Israël, puis en Afrique, Louis court d'énigme en énigme et d'horreur en horreur : observateurs d'oiseaux massacrés, cadavres d'enfants mutilés dans un laboratoire... Les souvenirs confus de son propre passé - ses mains portent des cicatrices de brûlures depuis un mystérieux accident - se mêlent bientôt à l'enquête. Et c'est au cœur de l'Inde, à Calcutta, que surgira l'effroyable vérité...
Le premier roman de Grangé que j'ai découvert avec l'excellent Les rivières pourpres.
À nouveau, une bonne intrigue, une fin surprenante, avec quelques détails plus « macabres » comme je les aime ;-)
Le jeune héros est par contre peu attachant, il se cherche, comme d'autres personnages du roman. Tout au long du roman, on voyage à travers l'Europe et l'Afrique, en suivant la migration des cigognes. Thriller original justement de par l'implication de ces oiseaux dans l'intrigue.
Cette chronique de lecture est originellement parue le 1er octobre sur Bookophiles (lien modifié suite à un changement de plateforme), blog sur lequel vous pouvez lire d'autres articles de DeL.