5 décembre 2009
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07:14
Azazel, de Boris Akounine
10/18, Grands détectives
« Dieu a distribué les cartes aux hommes. Azazel, lui, enseigne comment jouer pour gagner. »
Fandorine ou le James Bond russe ?
Dans la Russie du XIXe siècle, le jeune promu Eraste Fandorine est chargé d'élucider une série de meurtres. Un seul indice : le mystérieux nom d'Azazel, crié avant chaque homicide...
Le roman s'ouvre sur une scène de suicide qui semble anodine au premier abord. Lorsque le jeune enquêteur Fandorine décide de creuser un peu plus les circonstances du drame, c'est un vaste complot international qui semble se profiler.
Au fur et à mesure que l'enquête progresse, l'atmosphère devient étouffante. L'identité d'Azazel amène le jeune enquêteur à sillonner l'Europe et à se méfier de ses plus proches collaborateurs : coups bas et retournements de situation rythment le récit. Jusqu'à la dernière page, la diabolique conspiration est présente...
De nombreux clins d'œil et une légereté dans l'écriture rendent la lecture agréable.
Ma note : 4/5
Ce qui m'a plu...
Une intrigue des plus rocambolesques où le héros ressort indemne de situations cocasses.
Une situation qui se complexifie au fur et à mesure que le roman progresse, augmentant ainsi le plaisir de lecture.
Le mystère d'Azazel et les nombreuses fausses pistes qu'il peut induire tant pour le héros que pour le lecteur.
J'ai moins aimé...
L'élipse narrative en fin de récit : on ne sait si l'affaire est totalement close.
Cette chronique de lecture est originellement parue le 24 septembre dans Lectures givrées, blog sur lequel vous pouvez lire d'autres articles de Schneeweiss.
10/18, Grands détectives
« Dieu a distribué les cartes aux hommes. Azazel, lui, enseigne comment jouer pour gagner. »
Fandorine ou le James Bond russe ?
Dans la Russie du XIXe siècle, le jeune promu Eraste Fandorine est chargé d'élucider une série de meurtres. Un seul indice : le mystérieux nom d'Azazel, crié avant chaque homicide...
Le roman s'ouvre sur une scène de suicide qui semble anodine au premier abord. Lorsque le jeune enquêteur Fandorine décide de creuser un peu plus les circonstances du drame, c'est un vaste complot international qui semble se profiler.
Au fur et à mesure que l'enquête progresse, l'atmosphère devient étouffante. L'identité d'Azazel amène le jeune enquêteur à sillonner l'Europe et à se méfier de ses plus proches collaborateurs : coups bas et retournements de situation rythment le récit. Jusqu'à la dernière page, la diabolique conspiration est présente...
De nombreux clins d'œil et une légereté dans l'écriture rendent la lecture agréable.
Ma note : 4/5
Ce qui m'a plu...
Une intrigue des plus rocambolesques où le héros ressort indemne de situations cocasses.
Une situation qui se complexifie au fur et à mesure que le roman progresse, augmentant ainsi le plaisir de lecture.
Le mystère d'Azazel et les nombreuses fausses pistes qu'il peut induire tant pour le héros que pour le lecteur.
J'ai moins aimé...
L'élipse narrative en fin de récit : on ne sait si l'affaire est totalement close.
Cette chronique de lecture est originellement parue le 24 septembre dans Lectures givrées, blog sur lequel vous pouvez lire d'autres articles de Schneeweiss.